Parfaite soumise pour un homme plus âgé que moi

La soumission m'avait toujours intéressée mais je ne savais pas à qui en parler par peur d'être mal jugée. On comprend tous le sexe d'une manière, on a des différents points de vue et le mien c'est la soumission. Je veux être la soumise d'un homme mûr et surtout très mature.

Je suis Rosalie, j'ai 20 ans, je fais mes études et je travaille en même temps. Voila un peu plus d’un an que j'ai quitté la maison de mes parents. J'ai les cheveux noirs, les yeux bleus vert et des jolis seins en forme de poire et le cul bien bombé.

Le BDSM ne m'a jamais fait peur, car j’ai toujours voulu être une soumise je voulais qu'on m'apprenne à baiser au lieu de faire l'amour. J'aime être l’objet du plaisir d'un homme non pas jouet. Je veux être fouettée, menottée, insultée avec des mots cochons pour moi c'est la liberté de jouissance, pas de limite.

J'ai vu Monsieur Roger mon prof de biologie, il est beau, responsable et surtout très mature. Il adore me regarder surtout quand je mets mes doigts dans ma bouche. Je mourrais d'envie de l'expliquer que je voulais être sa soumise, mais j'ignorais de quelle façon il allait prendre ce que je voulais lui dire. Il était tellement excitant que je voulais me jeter sur lui. Quand je le vois, j'ai vraiment envie de lui parler.

Passé quelque semaine je suis partie le voir, j’avais comme une boule dans la gorge, l’estomac serré et j’ai pris mon courage à deux mains et je lui ai tout avoué. Première impression, j’ai conclu qu’il avait bien prit ce que je lui disais et qu’il était intéressait par ma proposition de soumise car sa femme à la maison n'aime pas ce genre de choses, elle trouvait que c’était trop brutale pour elle. J’ai sauté sur l’occasion pour lui plaire en même temps. On a eu une longue conversation pour savoir si j’étais réellement. Il m'avait laissé la semaine pour y réfléchir. Mais de mon coté c’était tout bonnement réfléchis, j’ai du faire genre je prenais mon temps pour ne pas qu’il se dise que j’étais affamé de lui.

Le vendredi après les cours je lui ai donné ma réponse et vu que sa femme allait partir chez les beaux parents, il allait prendre une chambre d’hôtel. Je suis arrivé à l’hôtel après lui. Roger avait pris la chambre numéro 247. J'avais mis un manteau avec de la lingerie fine dessous, des talons aiguilles et des bas. J'ai vu une mallette dans sa main et savais déjà ce qu'elle contenait.

En l'ouvrant j'avais vu des godes, des menottes, des boules des geishas avec des pinces à téton il y avait aussi la cravache avec une ceinture bien épaisse. J'ai pris le cocher anal pour femme dans ma main une sensation qui me faisait avoir la chaire poule.

En voyant tous ses accessoires ça m'avait donné encore plus envie d'être une soumise pour Roger et il avait bien précisé qu’à l'école il était M. Roger mais en intimité avec moi c’était uniquement Roger. Je voulais qu’il commence par me bâillonner. Je me suis complètement déshabillée, il m’avait écoutée, car c’était ma toute première fois. Il m'a passée les menottes aux poignets et il m'avait suspendu entartant les jambes.

J'avais senti sa respiration dans mon dos son souffle dans mes cheveux et soudainement le son de la cravache sur mes fesses à plusieurs coups c'était tellement intense à chaque coup qu'il me donnait je sentais son envie de baiser. Une fois terminer avec cravache Roger m'a mise sur le lit les yeux bandés les mains et les pieds attachés. J'étais en position de la levrette comme une vrai chienne. Ses mains voyageaient sur mon corps sans oublier ses coups.

Ensuite il m'a mise la barre d'extension aux pieds et j'avais senti sa queue qui me pénétrait avec f o r c e c'était glissant avec le lubrifiant qu'il avait mis sur son sexe. Quelle v i o l ente douleur au cul je n'avais jamais été sodomisée auparavant. Il donnait des grands coups je sentais ses couilles contre mes fesses et sa main sur le cou il m'a bien prise de f o r c e . Roger a arrêté pour me dire avec autorité de lui faire une bonne pipe. Ma langue sur sa queue faisant le tour de son gland il appuyait sur ma tête pour que sa bite rentre bien au fond ça donnait une envie de vomir et je manquais de respiration au fur et à mesure que sa bite entrait dans ma bouche centimètre par centimètre.

Après il m'a remise sur le lit pour me défoncer la chatte j'avais hyper mal au cul mais je n’osais pas lui dire. Il m'a mise un peu en hauteur soulevant le bassin m'a mise des pinces à téton et le crochet anal suspension aux fesses et il a pris sa queue le frottant sur le clito et direct dans mon sexe plaisir et douleur à chaque instant qu'il me donnait des coups des reins. Je gémissais des douleurs et des plaisirs intenses ca l’excitaient encore plus.

ll m'avait bien défoncée la chatte je sentais mon sexe qui avait doublé d’épaisseur quand il avait terminé, Roger m'a mise au sol à genoux face à sa queue je savais qu'il allait me jouir dessus mais j'ai même pas eu le temps de fermer la bouche j'avais reçu son sperme directement sur le visage et en pleine bouche. Il a remarqué que j'étais une parfaite soumise et il m'avait même fait des compliments mais après avoir nettoyé sa queue en enlevant les dernières gouttes du foutre qui restait.

Je l’ai laissé à l'hôtel après avoir pris ma douche je voulais que les gens me voient avec lui. Sur le chemin du retour j'avais reçu un petit message de sa part "quelle femme parfaite pour un homme qui rêve du bon plaisir chère Rosalie tu es magnifique et si tu veux on pourra recommencer quand tu veux ". Roger était un amour entant que dominateur. La douleur aux fesses me rappelaient la f o r c e être sous l'emprise de sa domination la v i o l ence de son corps et chaque mouvement qu'il faisait. Une chose est sur je vais le revoir pour très bientôt car je veux essayer tous ses accessoires sur moi. Car je vais être plus qu'un jouet pour lui, plus la femme qui satisfait ses désirs.

Nancy